| Mon cher Mons. Marx
Vous aviez donc peur que la maison
ne
s’écroulât sur vous Zur
Reise von Marx nach Hamburg und zu seinem
Aufenthalt in Hannover siehe Erl.
zu Marx an Engels,
13.4.1867.
Schließen le jour de
votre départ;
c’est sans doute la raison qui vous a fait partir si tôt;
sans vouloir m’attendre jusqu’à l’heure fixée; car je suis
venu exactement au rendez-vous; mais la cage était vide,
vous aviez emmené avec vous
Jenny Marx
(Tochter) und Eleanor
Marx.
Schließen Jenny et Tussy;
Laura
Marx.
Schließen Laura
était dans la cuisine à m’attendre, ne vous trouvant pas je
voulais au moins vous serrer la main sur le bateau; nous
prîmes un cab et nous allâmes; arrivés au bord de
la Tamise, nous comprîmes, mais un peu tard, que votre
impatience ne vous aurait pas permis de rester sur le bord.
Laura et moi nous nous consolâmes de
notre désappointement en faisant une promenade énorme.
Auf
dem Meeting der „Reform League“ am 3. April 1867
hatte George Odger eine Resolution
eingebracht, in der laut „Commonwealth“ dem
deutschen Volk zu der Einführung des allgemeinen
Wahlrechts für Männer für den zu konstituierenden
Reichstag des Norddeutschen Bundes gratuliert
werden sollte („its congratulations to the people
of North Germany on their achievement of full
representation in the legislation of their
country“). Darüber hinaus sollte ein
entsprechender Dank an Bismarck
als Ministerpräsidenten („its thanks and gratitude
to Count Bismarck for the frank, manly, and noble
expressions made by him as Prime Minister of
Prussia on the happiness and general prosperity
which must accrue to a nation governed on the
principle of manhood suffrage.“) übermittelt
werden. Siehe: Meeting of the
Reform League and trades’ delegates. In:
The Commonwealth. London. Nr. 213, 6. April 1867.
S. 1. Auf der Sitzung des Generalrats der IAA am
16. April 1867 forderte deshalb Lafargue im
Auftrag von Marx ein Misstrauensvotum gegen
Odger, weil dieser das Ansehen der IAA
beschädigen wolle („was calculated to injure the
Credit [of] this Association“). Siehe Minutes of the
General Council 1866/1867. In: MEGA2 I/20. S. 547.30–548.2. – Zur
„Reform-League“ siehe Erl. zu
Marx an J. Ph. Becker, zw. 9. u. 15.1.1866
und Handbuch
der europäischen Geschichte. Bd. 5 (1981). S.
394-400.
Schließen J’ai fait votre commission auprès du
Conseil central. La première fois que je
communiquai au conseil votre demande, on ajourna
la déliberation pour attendre la présence de
Odger;on
lui écrivit, mais il ne vint pas; et même ne daigna pas
excuser son absence.
Die auf der folgenden Sitzung am 23. April 1867
verabschiedete Resolution des Generalrats wurde
später unter dem Titel „Count von
Bismarck and George Odger“ veröffentlicht
(In: International Courier. London. Nr. 17, 1. Mai
1867. S. 3). Siehe Minutes of the
General Council 1866/1867. In: MEGA2 I/20. S.
550.19–27.
Schließen Sur ma
proposition on procéda immédiatement; Carter
nous a
assommés
avec trois ou quatre longs discours, qui n’avaient
qu’un petit malheur, c’était d’être toujours des
répétitions de plus en plus affaiblies et pâles.
Il défendait Odger
| comme Anglais et non comme
président de l’Internationale, j’avais beau me tuer
à lui démontrer que nous n’avions que faire avec
Mr l’anglais Odger,
mais bien avec Mr le
Président du conseil central; mais je serais
plustot parvenu à changer du plomb en or que de
faire entrer une chose si simple dans cette outre
pleine de mots sonores. Enfin après les discours
soporifiques de Carter,
on passa la résolution suivante présentée par moi
et secondée par Lessner; je vous en donne le sens: Que
le Conseil central répudiait énergiquement l’eloge
donné par son président à Bismark. Vous devez être content.
Siehe Protokoll der Sitzung des Generalrats vom
23. April 1867 (Minutes of the
General Council 1866/1867. In: MEGA2 I/20.
S. 550.5–18. – Die Vergütung des Generalsekretärs
von 2 Pfund pro Woche wurde auf dem Genfer
Kongress der IAA (3.–8. September 1866) auf
Vorschlag des Zentralrats (siehe Karl Marx: Instructions for
the Delegates of the Provisional General Council.
The different questions. In: MEGA2 I/20. S. 225.13–14)
beschlossen (siehe Special
Regulations voted at the Geneva Congress
(1866). Ebenda. S. 644.18–25 und 1737 sowie
Bourdon,
Card, Coullery: Congrés Ouvrier de l’Association
Internationale des Travailleurs. Procès-verbaux.
2 h. Procès-v. de la séance du 8 7bre 1866. In: IISG,
Nachlass Hermann Jung, Sign. 45/2). Der Generalrat
war wegen der geringen Einnahmen nicht in der
Lage, diese Summe zu bezahlen.
Schließen Après on s’est occupé d’une autre
question très importante le salaire du secrétaire.
C’est Jung qui
a soulevé la question. Il a été convenu qu’on lui
donnerait 10 schellings schillings par semaine, et que cette somme serait
fournie volontairement par les membres du Conseil;
immédiatement on fit passer une liste et l’on
trouva des souscripteurs pour 14 schellings schillings. Quand
la question pécuniaire fut tranchée, il s’agissait de
trouver un secrétaire. Shaw donnait sa démission, il ne voulait
pas être payé, Fox
refusait, Ecarius aussi;
même Ecarius a été très
beau, il est maintenant en Grève; et Fox prétendait
|
qu'Ecarius
devrait accepter parce que cela l’aiderait à supporter plus
facilement la grève. Mais il refusa carrément et ajouta que
dans une affaire comme celle-là on ne devait jamais invoquer
des considérations humanitaires.
Shaw fut donc
obligé de garder sa place de secrétaire et d’être payé
contre son gré. Même il ne voulait pas prendre l’argent
versé sur la table, alors je lui dis: «Prenez-le et
flanquez-le par les fenêtres si cela vous plaît.».
Vermutlich meint Lafargue Ereignisse im
Zusammenhang mit dem Streik der Bronzegießer in
Paris. Siehe Erl.
zu Marx an Engels,
2.4.1867. Ab März 1867
streikten auch die Lokomotivführer und Heizer auf
mehreren britischen Eisenbahnlinien für
Lohnerhöhungen und geregelte Arbeitszeiten (siehe
Protokoll der Sitzung des Generalrats der IAA vom
2. April 1867 in: Minutes of the
General Council 1866/1867. In: MEGA2 I/20.
S. 544.11–16.und
Pariser Seiler (Protokoll der Sitzung vom 7. Mai
1867. Ebenda. S. 555.38–39). Seit April 1867
streikten Londoner, Pariser und Brüsseler
Schneider (Protokoll der Sitzung vom 23. April
1867. Ebenda. S. 549.15–23) sowie Londoner
Tapetendrucker (ebenda.
S. 549.4–8).
Schließen Vous n’avez pas du être sans entendre
parlez des grèves; c’est superbe.
Vermutlich handelt es sich um den Artikel P.
David: Parmi les derniers
incidents qui se sont manifestés entre les
ouvriers et les patrons ...“. (In:
Journal
des débats politiques et littéraires. Paris.
22./23. April 1867, S. 1, Sp.
3/4).
Schließen Le journal des Débats,
a lancé un article fulminant contre l’entente des
ouvriers de divers nations. In
der von Louis
Veuillot, redigierten Zeitung „L’Univers“ erschien in der ersten Nummer
(Nr. 1, 16. April 1867, S. 1/2) ein Artikel („Les grèves
d'ouvriers ...“) , unterzeichnet von
Léon
Aubineau,
mit
der von Lafargue zitierten Bemerkung zum Streik
„Il n'est pas difficile de démêler, dans les
correspondances mielleuses et les protestations de
dévouement livrées à la publicité, les
rugissements du lion socialiste.“ (S. 2).
Schließen Veuillot dans
son journal
qui a reparu, ces jours derniers a tonné contre la
grève, et a prètendu qu’elles qu’elle étaient les rugissements du lion socialiste (sic), et
que tous les honnêtes gens devraient se réunir
sous un même drapeau pour courir sus au
monstre. Les prêtres béniraient les
combattants, et comme les corbeaux iraient boire leur sang
après la bataille; quant à Mr Veuillot il ferait des gros sous en
répétant les nouvelles, et en chantant les gloires de cette
armée de Dieu. La pudeur du Times, ces jours derniers a été mise à une
grande épreuve; Dieu veuille éloigner de lui de pareilles
épreuves,
| elles sont au-dessus de la nature humaine,
surtout bourgeoise. Gemeint ist die Arbeit der Königlichen Kommission
zur Untersuchung der Arbeit der Gewerkschaften
seit Februar 1867 in England (Royal Commission on
the Organization and Rules of Trade Unions and
other Associations 1867-1869), die im Ergebnis zu
einer Entkriminalisierung und Legalisierung der
„Trades' unions“ führte. Siehe Report[s] of the
commissioners appointed to inquire into the
organization and rules of trades unions and other
associations. Together with Minutes of evidence.
London 1867-69.
Schließen L’enquête sur
les trades’ Unions se
continue avec beaucoup d’activité, les leaders de la classe ouvrière
sont appelés et subissent un examen des plus
rigoureux. Un entre autres, Vermutlich Anspielung auf den Artikel „The evidence
taken before the Trades' Union Commission
...“ (In: The Times. London. Nr. 25788, 18.
April 1867, S.
6),
in dem es heißt: A witness who volunteered his
evidence upon the Stonemasons’ Union appeared to
think it a commendable proceeding if a workman
could succeed without detection in putting a
faulty stone in a building, and, though he owned
that “some highly moral men might object” to such
an act, he asserted that it would not be regarded
as censurable by the trade , and that he himself
“did not look upon it as a “question of honesty.”
– Thomas
Conolly.
Schließen Colonny, stonemason, prétendait que la classe
ouvrière n’avait rien a voir avec les intérêts du
capital, et au contraire qu’elle devait lui porter
les plus grands coups. Jugez des criailleries du
Times; mais ce n’est pas tout. Colonny avec un
cynisme superbe, digne des grands jours, ajoutait,
qu’un ouvrier, (stonemason) considérait comme de
son devoir de mettre une mauvaise brique dans une
bâtisse ou de faire mal son ouvrage. La morale
usuelle, je le sais, trouverait à redire à ceci,
disait-il,
«mais
nous nous moquons de la morale;»
(we
don’t care). Cela dépassait les bornes, le Times a consacré
tout un article à ce mot.
Der
Briefe, geschrieben zwischen 10. und 23. April
1867, konnten nicht ermittelt werden. Siehe auch
E.
Marx an Marx, 26.4.1867
und J.
Marx (Tochter) an Marx,
28.4.1867.
Schließen Je n’ai pas
besoin de vous donner de nouvelles de votre
famille, tout le monde vous a écrit, mais je ne
sais si l’on vous a dit que nous vous demandions à
corps et à cris; surtout Tussy, elle a besoin de vous à ce
qu’il paraît pour pouvoir vivre. Vos nouvelles
sont bonnes,
tant mieux; ayez le plus grand succès tant moral que
pécuniaire; mais, pour Dieu! revenez le plus tôt possible.
Der
Brief von Lafargue an Jules Antoine
Moilin, geschrieben etwa am 23. April
1867, konnte nicht ermittelt werden.
Schließen Vous trouverez, ci-inclus,
une lettre pour Moilin,
je vais lui écrire d’ailleurs, mais je vous
remercie sincerement d’avoir procuré à mon ami un
client.
PLafargue
Zeugenbeschreibung und Überlieferung
Zeugenbeschreibung
Der Brief besteht aus zwei Blättern mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 136 × 211 mm. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben, das zweite Blatt mit „2“ paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte.
Von unbekannter Hand: Vermerk mit Bleistift auf der ersten Seite oben in der Mitte: „70?“.
Archivsignatur auf der ersten Seite: „J. 132“.
Die Schreibweise wurde zurückhaltend korrigiert.
Datierung in der Erstveröffentlichung: April–Mai 1867.
Anmerkungen zum Brief
Zur Datierung: Lafargue berichtet von den Sitzungen des Generalrats der IAA am 16. und 23. April 1866. Dementsprechend muß der Brief nach dem 23. April 1867 geschrieben worden sein.
Die Beilage („une lettre pour Moilin“) ist nicht überliefert.
Zitiervorschlag
Paul Lafargue an Karl Marx in Hannover. London, nach Dienstag, 23. April 1867. In: Marx-Engels-Gesamtausgabe digital. Hg. von der Internationalen Marx-Engels-Stiftung. Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften, Berlin. URL: http://megadigital.bbaw.de/briefe/detail.xql?id=M0000252. Abgerufen am 20.04.2024.